J’avais quinze ans elle en avait dix-huit. Il m’en reste un souvenir assez traumatique. C’était à Hastings U.K ou j’allais en séjour linguistique chaque été. Pour la première fois j’avais organisé le voyage sans une organisation spécialisée. Mon copain Pierre que j’vais rencontré l’année précédente était plus dégourdi que moi et m’avis expliqué qu’il y avait plein de chambre chez l’habitant. J’en avais trouvé une chez une vieille dans une maison qui puait à cause de ses six ou sept chats. Je partageais la chambre avec autre français tout maigre au cheveaux noirs qui était très silencieux et que je ne fréquentait pas. Il avait pour avantage d’utiliser de l’eau de toilette Aqua de Velva qui rendait l’odeur de la chambre supportable.
L’année d’avant j’avais connu mon premier baisé que m’avais spontanément donné sur la plage une blonde frisé. Les suédoises en grand nombres chaque été était le fantasme favori et j’avais rencontré la superbe Birgita avec qui on s’était beaucoup embrassé sur les bancs du café ou les petits français goutaient avec délice leur éphémère indépendance. Elle m’avis écrit et envoyé une photo mais j’étais beaucoup trop coincé pour lui répondre. J’ai gardé la photo mais honteux j’avais noirci ce qu’elle y avait écrit. J’avais eu autre une occasion avec une française dont je me rappelle les seins mous mais cela s’était passé très vite et je n’avais pu bander.
C’est donc l’année suivante que j’avais dragué Patricia avec un slow dans la pénombre des lumières psychédéliques des boites de nuit d’après-midi qui constituaient notre principale distraction. Je bandais tellement après le slow que je du m’accroupir pour me décoincer la bite. Elle fit de même et passa la main sur la bosse de mon pantalon. C’était une anglaise d’origine belge et parlait français. Je connaissais vaguement sa jeune soeur de seize ans ce qui était pour moi déjà trop vieux mais dix huit c’était l’aventure. Le lendemain on est allé au cinéma et dans l’après midi il n’y avait pratique que nous dans la salle. On regardait à peine le film tant on se roulait de pelles et elle elle ouvrit ma braguette et sortis mon pénis pendant que jeremontais ma main entre ses cuisses jusqu’à ateindre qulque chose d’humide. Elle me proposa d’aller chez elle.