Les frères Teutch, Joe et Jhon m’on ramené aux USA. Toute la nuit on s’est gelé dans le vieux minivan pour traverser le désert du Sonora. la nuit était claire et on pouvait voir les pierres craquelées par l’énorme différence de température avec la journée. La douane est fébrile mais j’ai un visa et pas une têt de mexicain.  Ils habitent à Austin la capitale administrative du Texas ou ils sont étudiants mais viennent d’Amarillo la capitale de la viande et des cow-boy dans l’ouest de l’état. Leur père est même le banquier du syndicat des emballeur de viande.Après quelques jour je trouve un job de serveur au Old Pican street Café  un soit disant restaurant français qui sert des plat comme le boeuf Strogonof réchauffé au micro onde. Fort d’avoir un job je trouve un logement à cinquante dollars par moi dans la partie industrielle d’Austin à coté du Boogaloo Wharehouse, une boitede dance et de concert dans un hangar. C’est la fin de l’été et la chaleur qui enveloppe l’atmosphère est d’une telle humidité que la sueur ne s’évapore plus. Au heureusement il y a le lac Travis pour se baigner.

Joe est étudiant en musique à l’université d’Austin et joue de la guitare et du violon. Il se passionne pour un cours de musique Syrienne et essaye de la transcrire sur guitare électrique. Je ne sais pas jouer à par les deux accords de musique mexicaine que Bob m’a montré à Cholula mais Joe insiste que je peux jouer de la basse. Il veut monter un groupe avec Dick un copain de l’ouest dy Texas, un ancien cow-boy qui à perdu deu x phalanges de la main gauche dans une barrière automatique à boeufs. il a une énorme enceinte auto-amplifiée de basse et il n’y a plus pour moi qu’à trouver une basse. Je dépense toute ma paie du moi et m’achète une Fender Jazz noire.

Overland Barbwire est le nom du groupe de rock que Joe veut créer en hommage à l’obsession du trespassing de la région d’Amarillo d’où il vient. C’est tellement le pays de la viande qu’il y a un restaurant qui sert un steak diner à soixante quinze dollars gratuit si vous pouvez le finir. Sur le mur du restaurant les photos des gagnants depuis les années cinquante. A peine quelques dizaines. Souvent on va manger chez JM steak house où on paye à l’enrtée pour un steak qui grille sur un grill le temps qu’on arrive au bout de la file après avoir prit salade et dessert en libre service. Une formule gagnante pour deux dollars. Sur Business street le Pican St. Café est à coté d’un club de strip tease et l’une des danseuses, une chicano, Margarita s’est mis en tête de me séduire. Elle me montre un grand couteau pliant pour me dire qu’elle peut se défendre seule.Chez moi on fait un peu l’amour en lui disant que ce n’est pas la relation que je veux avoir avec elle. Un soir quelques elle me téléphone pour me dire qu’elle à besoin de moi et que je vienne à une adresse à laquelle je vais mais ne la trouve pas. Quelques jours plus tard je la voit dans une fête foraine en compagnie d’un noir musculeux mais évite de la croiser.

Dick fait des accords avec ses doigts dont manque la dernière phalange et fais de arpèges avec son mediator. On joue sur les gammes phrygiennes qui son de seize bars et en mineur. C’est tout ce que Joe m’apprends set ou sont les notes mineures sur le manche de la longue basse. Tant bien que mal on fait de la musique électrique sans batteur. joe obtient qu’on nous laisse jouer une après-midi dans un Ice Cream parlor psychédélique éclairé à la lumière noire. Son frère plus âgé Tucker de passage avec sa femme Martha viendront nous voir. On a prit de l’acide et après vingt minutes de ce qui devient du free rock le propriétaire du parlor nous demande d’arrêter le bruit. On plane tellement qu’on ne comprends pas pourquoi. C’est alors que nous décidons d’aller à San Francisco dont je paralsi souvent et qui pour Joe était la Mecque de la musique.

Avec le minivan de Dick on va d’abord à El Paso ou un de ses copain joue du piano électrique dans un bar. Joe espérait le faire jouer dans le groupe car lui il connaissait le piano mais il pense qu’on joue faux et on reprend la route après avoir dormi chez les serveuses du bar. A la frontière entre l’état du Texas et du Nouveau Mexique le ranger pense pour de bonnes raisons que ça sent l’herbe dans notre véhicule. joe lui jure que non avec véhémence et parvient à le convaincre. Passé Las Vegas on s’arrête à Needle pour fair de l’essence. Avec Joe qui a les cheveux très long fans le dos on regarde la carte devant la pompe. Un bonhomme en costume sombre passe à coté de nous et met sob-n doigt sur la cart « c’est ici » dit-il et va se rassoir dans une Chevelle conduite avec une femme et attendent le service. Joe me dit « C’est Croucho Marx ». Nous avons tout le temps de l’observer pendant que sa voiture attend une pompe libre. C’est bien lui!

Enfin San Francisco épuisés et sans le sou nous dormons à droite chez de amis qui nous disent qu’on peut pas rester. Deux jeunes type qui apparemment sont impressionnés par le fait que je connaisse les Charlatans nous invitent à nous installer et à répéter dans une grande maison de banlieue. Ils doivent penser qu’on est des stars en devenir et nous invite à nous installer et à répéter. Ici on peut mettre nos amplis à fond sans dérager les voisins. La maison est juste dans l’axe de la piste d’atterrissage de l’aéroport d’Oakland et tous les matins à six heure on est réveillé par l’arrivé du premier avion qu’on entend arriver comme s’il allait s’écraser sur la maison. Au bout de deux jours je n’en peux plus de cette ambiance fausse et déprimée je pars revoir mes amis Surfeurs de Santa Cruz.